PULIGNY-MONTRACHET 2019
PULIGNY-MONTRACHET 2019
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Cépage
Notes de dégustation
Nez : Des arômes citronnés, une pointe d’agrumes relevée par d'élégantes notes toastées et vanillées.
Palais : En bouche, c'est un vin frais et aérien, sur une belle minéralité et présentant un boisé délicat suivi par une longue finale.
Accords mets et vins
Température de service
Potentiel de garde
6 à 8 ans.
Origine
Le village tiendrait son nom de l’époque Gallo-Romaine où lors des premières implantations il a été nommé Puliniacus – la maison des marais. Ce n’est qu’à la fin du 19è siècle que le nom de Montrachet lui sera rattaché.
L’appellation représente 211,46 hectares. Elle produit en quasi-totalité des vins blancs et comporte 17 climats classés en Premier Cru, soit 98,18 ha en production. La commune de Puligny-Montrachet produit aussi 5 Grands Crus.
Le sol est principalement calcaire, avec une couleur ocre très caractéristique. On trouve aussi dans le sous-sol des bancs marneux (mélange argilo-calcaire) à différentes profondeurs qui donnent toute leur charpente aux vins de l’appellation.
Ce vin est issu de différentes vignes situées en plaine avec une exposition Sud-Est, qui les protège des vents du Nord et idéale pour capter le maximum de chaleur solaire et assurer la bonne maturité/concentration des raisins.
Vinification et élevage
La vinification et l’élevage se font avec 40% de fûts neufs. On s’assure ainsi d’apporter au vin une oxygénation lente et continue, ainsi que des apports olfactifs.
Le vin est élevé pendant 10 mois sur lies avec quelques bâtonnages, qui donneront au vin plus de complexité.
Millésime : 2019
2019 est une année singulière et fortement contrastée.
L’hiver a été doux avec des températures supérieures à la moyenne et des précipitations variables. Le cycle végétatif démarre donc assez précocement, avec un débourrement légèrement en avance début avril.
Mais, un temps froid s’installe alors sur la Bourgogne et l’épisode de gel du 5 avril a fait des dégâts sur plusieurs parcelles. Le 2nd épisode de gelée (du 13 et 14 avril) a été mieux subi puisque certains villages et vignerons se sont organisés et des écrans de fumée ont été faits dans les secteurs gélifs.
Le cycle végétatif redémarre seulement après la mi‐avril, grâce à la hausse des températures. Le stade mi- débourrement est atteint après la mi‐avril pour les parcelles les plus en retard.
Courant mai, la vigne se développe bien, une vague de chaleur parcourant la Bourgogne jusque début juin.
De puissantes rafales de vent et un fort rafraîchissement s’installent ensuite sur la France. Ils entravent partiellement la floraison : celle‐ci prend du retard, avec des phénomènes de coulure et de millerandage assez fréquents. Le printemps est resté légèrement humide mais surtout froid tout le mois de Mai et jusqu’à la floraison qui a eu lieu autour du 10/15 juin. La croissance végétative a été très lente pendant tout ce printemps. Ce temps a été particulièrement propice à la coulure.
L’été a été caniculaire et sec ce qui a entrainé beaucoup de millerandage.
Les vendanges se sont déroulées du 9 septembre au 24 septembre sous un soleil radieux avec de belles maturités et des équilibres superbes.
Sur les blancs, ce millésime franc, se caractérise par une grande pureté aromatique et un équilibre remarquable : la vivacité soutient une richesse en bouche
L’hiver a été doux avec des températures supérieures à la moyenne et des précipitations variables. Le cycle végétatif démarre donc assez précocement, avec un débourrement légèrement en avance début avril.
Mais, un temps froid s’installe alors sur la Bourgogne et l’épisode de gel du 5 avril a fait des dégâts sur plusieurs parcelles. Le 2nd épisode de gelée (du 13 et 14 avril) a été mieux subi puisque certains villages et vignerons se sont organisés et des écrans de fumée ont été faits dans les secteurs gélifs.
Le cycle végétatif redémarre seulement après la mi‐avril, grâce à la hausse des températures. Le stade mi- débourrement est atteint après la mi‐avril pour les parcelles les plus en retard.
Courant mai, la vigne se développe bien, une vague de chaleur parcourant la Bourgogne jusque début juin.
De puissantes rafales de vent et un fort rafraîchissement s’installent ensuite sur la France. Ils entravent partiellement la floraison : celle‐ci prend du retard, avec des phénomènes de coulure et de millerandage assez fréquents. Le printemps est resté légèrement humide mais surtout froid tout le mois de Mai et jusqu’à la floraison qui a eu lieu autour du 10/15 juin. La croissance végétative a été très lente pendant tout ce printemps. Ce temps a été particulièrement propice à la coulure.
L’été a été caniculaire et sec ce qui a entrainé beaucoup de millerandage.
Les vendanges se sont déroulées du 9 septembre au 24 septembre sous un soleil radieux avec de belles maturités et des équilibres superbes.
Sur les blancs, ce millésime franc, se caractérise par une grande pureté aromatique et un équilibre remarquable : la vivacité soutient une richesse en bouche